Emmanuel Macron persévère dans sa politique anti-sociale
Capture d'écran. Mais le trône vide, peut-être celui du business. Non?
L'ex-banquier dans une très grande banque d'affaires, élu à l'Elysée, avait dissout l'Assemblée nationale. Il avait ainsi usé de son privilège gravé dans la Constitution de notre mauvaise république. Il espérait obtenir une majorité de députés pour conduire plus encore le business du Capital et des actionnaires.
Mais défait aux législatives, après avoir dealé sans vergogne avec l'extrême droite, Michel Barnier adoubé premier ministre, la censure a fait tomber le gouvernement du vieux cheval de la droite.
Hier, à la téloche, le roi élu a proposé à la Nation un gouvernement "d'intérêt général". Avant cette annonce, le locataire du palais de l'Elysée avait promis un nouveau premier ministre dans les 24 heures. C'est raté!
Il lui reste la troisième force. C'est pour cela qu'il reçoit aujourd'hui en son palais les siens, le droite sarkozyste et le Parti socialiste.
Dans le passé, les socialistes ont souvent utilisé cette troisième force pour gouverner ou être dans le gouvernement. Et le Capital est toujours resté debout. Jusqu'à aujourd'hui. Et peu importe que les présidents de la République aient été socialistes.