Voilà, c'est dit, par Canaille le Rouge
S'il fallait une preuve de plus:
A la bourse, on va pouvoir trinquer sans attendre le 31 décembre
Quand le patronat prend son panard, c'est le peuple qu'on met au placard.
Titre révélateur de Libération : "Retraites : le Medef salue une «ouverture» sur le coût du travail".
Ce pouvoir démontre qu'il est autant de gauche qu'une fenêtre qui ne ferme plus : plus elle se gauchit, moins elle est fenêtre.
C'est peut être finalement la destinée du PS : depuis le temps qu'il se tient à carreau, il a perdu sa capacité de transparence et d'ouverture sur le monde.
Pour preuve, c'est lui qui parle de volet social de sa politique.
Ni volet, ni fenêtre, ni carreau, le peuple à besoin d'air sain loin des miasmes bruns et alliés ou de la pollution boursière, il a besoin d'être propriétaire de la battisse, des terres et dépendances.
Le peuple à besoin de socialisme et donc pas de parti(e) socialiste.
Je vous invite également à lire mon article 3 000 socialistes pour sauver nos retraites.
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