Ukraine et UE du capital aplaties par le grand frère Américain
Emmanuel Macron, autoproclamé chevalier blanc number one, avait ficelé l'entrevue Zélenski-Trump au pays de la libre Amérique. C'était pour un probable processus de paix et faire de la France des affaires la championne du monde dit libre.
Hélas, le président ukrainien est tombé dans un guet-apens de la pire des télés réalités, lui pourtant comédien de son ancien métier. Le capitalisme prédateur made in USA ne veut que racketter minerais et terres rares de l'Ukraine et reprendre son business avec la Russie de Poutine.
Et qu'ont répondu hier les soit-disant alliés de l'Ukraine agressée, réunis à Londres, capitale fer de lance de l'impérialisme US en Europe. Rien, sinon que la paix et le business toujours avec l'aide du grand frère Américain.
Le capitalisme est bien le prédateur de notre planète et de l'humanité depuis sa naissance, même si ici ou là on le masque derrière un prétendu libéralisme.
Non, le monde n'entre pas dans une ère de prédation avec Donald Trump à la Maison blanche. Il y est de plain-pied, d'autant plus aidé par l'extrême droite, parce que le ventre de la bête humaine reste toujours fécond faute de luttes de classes pour la démocratie, la justice sociale et la Paix.