JM Le Pen dcd: il n'est pas à regretter
Le fondateur du Fn, parti d'extrême droite, vient de décéder. Il n'est pas à regretter.
Bruno Retailleau, ministre de l'Intérieur, fustige les rassemblements de liesse qui ont salué la mort du leader de l'extrême droite plusieurs fois condamné par la Justice pour provocation à la haine, à la discrimination et à la violence raciale, pour apologie de crime de guerre et contestation de crimes contre l'humanité ou pour violences contre la maire socialiste de Mantes-la-Ville. Tiens, tiens...
Le président de la République laisse "l'Histoire juger de son rôle dans la vie politique" française. Vous m'excuserez, Monsieur, mais la Justice française a déjà rendu son verdict à son encontre. Et pas qu'un fois contre celui qui avait aussi torturé des prisonniers durant la guerre d'Algérie.