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Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

Capture d'écran

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Comme l'extrême droite au gouvernement en Italie désirant enfermer ses réfugiés immigrés en Albanie, le Texas, cet ancien état esclavagiste, compte lui ouvrir sur son propre sol un "centre de déportations" pour soutenir le plan d'expulsion massive des réfugiés immigrés par le  47e président élu des USA.

Dawn Buckingham, Commissaire à l’aménagement du Texas, a déclaré offrir à Donald Trump 570 hectares de terres publiques à la frontière mexicaine avec les  USA pour "aider son administration à mettre en œuvre ses plans d’expulsion".

Cela tombe bien. En effet, Donald Trump a nommé Tom Homan patron de l’Agence fédérale chargée du contrôle des frontières et de l’immigration. Il en était déjà le boss lors du premier mandat trumpiste à la présidence de la libre Amérique. Tom Homan fut à l’origine de la politique de séparation entre les enfants et leurs parents, qui avait fait scandale. Près de 4 000 enfants migrants avaient été séparés de leurs parents, placés en détention.

Ledit camp de concentration serait établi le long du Rio Grande, frontière dite naturelle entre les États-Unis et le Mexique.

Pour l'histoire, autrefois, après sa guerre d'indépendance contre l'Espagne, le Mexique englobait des états de l'actuel sud-ouest américain comme la Californie, le Texas ou le Nouveau-Mexique. En 1848, après l'invasion du Mexique par les armées US, celui-ci perdit un peu moins de la moitié de son territoire, notamment le Texas, la Californie ou le Nouveau-Mexique.

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