COP 29: le machin onusien sur l'environnement s'ouvre en Azerbaïdjan
La COP 28 s'était tenue à Dubaï, dans les Emirats arabes unis, grands exportateurs de gaz et de pétrole. Et chacun mesure dans son quotidien que l'environnement est resté lettre morte après ce 28e machin onusien.
La 29e Conférence onusienne sur les changements climatiques s'est donc ouverte à Bakou, capitale du très démocratique Azerbaïdjan, également l'un des principaux exportateurs d'hydrocarbures dans le monde. Et cerise sur les puits de pétroles azéris, le patron de la COP 29 n'est autre que Mukhtar Babayer, ministre azéri de l'Ecologie et des ressources naturelles(sic). Surtout, ancien pontife à la State Oil Company of Azerbaïdjan. Oui, en langage du billet vert américain, ça fait plus classe pour le business.
Bref, comme pour la COP 28 à Dubaï, des accusations de corruptions planent à Bakou. Et les contrats juteux pour les énergies fossiles remplaceront une politique internationale réelle contre le réchauffement climatique.
Et puis, l'armée azérie a-t-elle attaquée l'Arménie voisine à coups de pistolets à eau?