Hillary Clinton à Barack Obama: "L'Arabie Saoudite et le Qatar financent l'état islamique"
Dans un mail divulgué par WikiLeaks, Hillary Clinton, alors secrétaire d'état des USA, écrivait noir sur blanc que ces deux monarchies pétrolières intégristes finançaient les islamo-fascistes de Daech. Mais pas seulement celui-ci mais aussi "d'autres groupes radicaux dans la région".
Il est à noter que cette confidence est émise lorsque les Etats-Unis, l'Arabie saoudite et le Qatar venaient de s'engager dans la coalition contre l'Etat islamique. Les premières opérations ayant été menées seulement quelques jours auparavant, le 8 août 2014.
Fin 2015, l'Arabie saoudite avait juré sur dieu tout puissant que cela était faux. Mais comme des observateurs indépendants confirmaient ce mail encore secret d'Hillary Clinton à son président, en février 2016, Adel al-Toraifi, ministre de l'Information et de la Culture, assurait dans une interview au Figaro, journal du marchands d'armes Serge Dassault:
Les organismes internationaux spécialisés dans la lutte anti terrorisme ont reconnu que l'Arabie était l'un des pays les plus en pointe en matière de contre-terrorisme, de lutte contre le financement de ce terrorisme mais aussi en matière de dé-radicalisation.
Il est vrai que depuis, les USA soutiennent mordicus l'Arabie saoudite et le Qatar, au nom de la démocratie et de la paix sans doute. Et que la France de François Hollande, avec l'appui du patronat et des forces de l'argent, est dans les pas de Barack Obama président des USA et prix Nobel de la paix. Récemment, le 6 mars 2016, François Hollande a décoré de la Légion d'honneur Mohammed ben Nayef, prince héritier d'Arabie saoudite et à l'ONU, le machin chose de la communauté internationale au service du capitalisme, l'Arabie saoudite est devenu le président du très officiel Conseil des Droits de l'Homme.
Le pire est atteint lorsque l'Arabie saoudite et le Qatar financent la Fondation Clinton à coups de millions de dollars, fondation pour promouvoir Hillary du Parti démocrate à la présidence des USA.
Oui, dans le monde capitaliste, business is toujours business. Que l'on soit Démocrate(sic) ou Républicain(sic) dans ladite libre Amérique, de drauche, de droite, ou à l'extrême droite en France. Il faut quand même se rappeler que la fille de son père est allée chercher du fric pour financer ses idées nauséabondes auprès des banques de Vladimir Poutine, lui aussi un chantre du progrès et de la liberté.