/image%2F0618370%2F201305%2Fob_7918818d5d07715052e33159e7d5dc33_revolution.jpg)
Souvenez-vous: le 8 mai 1945, l'Allemagne nazie capitule sans conditions
/image%2F0618370%2F20250507%2Fob_1d68d4_481824417-9023327681110732-28809854064.jpg)
Souvenez-vous aussi. Contre l'Armée rouge, parmi les derniers combattants hitlériens qui défendent Berlin et Adolf Hitler dans son bunker, 300 à 350 Français engagés dans la Waffen SS du bataillon Charlemagne, volontaires pour combattre sous l'uniforme SS dans les forces armées du IIIe Reich allemand.
Le 22 juillet 1943, un décret du gouvernement pétainiste, paru au Journal Officiel, autorise les Français de contracter un engagement dans la Waffen SS, La 33e Waffen-Grenadier-Brigade der SS Charlemagne va être créée. Elle compte 7 400 Français en décembre 1944, commandée par le Français Edgard Puaud avec le grade de Oberführer.
Dans la nuit du 23 au 24 avril 1945, sur ordre d'Hitler, un bataillon de SS français est détaché pour défendre Berlin. Le 2 mai, alors qu'Hitler s'est suicidé le 27 avril, ils sont les derniers défenseurs de son bunker pour empêcher les Soviétiques de le prendre le jour du 1er mai. Les derniers SS français sont faits prisonniers par l'Armée rouge.
Le Français Henri-Joseph Fenet, commandant ce bataillon, dans les derniers combats acharnés, reçoit la croix de chevalier de la croix de fer nazie. Dénoncé par son tatouage sanguin sur le bras, signe de son engagement SS, il est arrêté à Valenciennes en . Condamné en à 20 de travaux forcés, il est libéré en