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Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

capture d'écran sur X

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Largement embourbée dans l'affaire de l'établissement huppé privé catholique parisien, qui scolarise ses enfants, cette fois c'est au titre des sports qu'elle est épinglée par le journal le Monde.

En cause, le rapport d'enquête parlementaire sur les fédérations sportives françaises, notamment sur la Fédération française de tennis dont madame Oudéa-Castéra fut dirlo générale de mars 2021 à mai 2022. Le rapport parlementaire s'est penché sur le pognon perçu par les 10 principaux cadres du tennis français. Pour la désormais très célèbre ministre du palais de l'Elysée, ce sont 400 000 euros brut annuels et 100 000 euros de prime d'objectif.

Peut-être, avec son époux, ancien conseiller de Nicolas Sarkozy au ministère du Budget, ancien directeur général de la Société générale, aujourd'hui président du conseil d'administration du laboratoire pharmaceutique Sanofi, peut se comprendre que, au nom de l'égalité des chances en France, l'établissement privé Stanislas soit choisi pour leur enfants.

Auditionnée le 16 novembre 2023, Amélie Oudéa-Castéra avait plaidé que son salaire était proportionnel à la richesse de la FFT et que sa fédération ne recevait aucun fric public Elle avait juré cela, les yeux dans les yeux.

Or, rapide rétropédalage pour ne pas être parjure, la FFT avait bien perçu 1, 45 million d'euros publics.

Bon, madame Oudéa-Castéra dit que le rapport d'enquête parlementaire est un rapport "militant"  jetant "sans nuance l’opprobre sur tous les acteurs du sport français".

Tout comme le rapport d'enquête de l'Inspection de l'éducation nationale sur l'établissement catholique Stanislas, madame la ministre des Sports, de la Jeunesse, des JO et de l'Education nationale?

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