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Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

Qui aime bien châtie bien, le dogme patriarcal contre la femme se porte bien

Après Adrien Quatennens, député Lfi et second de JL Mélenchon, voilà Julien Bayou, député Eelv et grand sachem dans ce parti, pris par la patrouille des violences exercées contre des femmes. Pourtant, chez Lfi ou Eelv, il y a un machin truc de cellule interne  qui enquêterait à ce sujet. Mais pourquoi ne pas saisir directement la Justice lorsqu'on est avisé d'un acte susceptible d'être répréhensible en ce domaine?

Surtout, un nouveau cas chez Lfi, celui du député Thomas Porte dont la procédure interne est enclenchée depuis juillet selon Médiapart. Un ange est sans doute passé pour le député Lfi qui affirme n'être au courant de rien en ce mois de septembre.

Cela rappelle l’affaire Taha Bouhafs. Le 9 mai dernier, il renonçait à se porter candidat LFI à Vénissieux aux élections législatives. Il assurait plier face à une "campagne raciste" et recevait le soutien de la majorité des cadres de Lfi,

En réalité, dans le Monde de ce 19 septembre, ledit candidat Lfi s'était rendu coupable d'actes répréhensibles sur son ex-petite amie. Si bien, que la députée Clémentine Autaine, l'une des sous-chefs de Lfi, rencontrait Taha Bouhafs: "Le témoignage est crédible, donc, soit tu te retires, et tu dis que c’est à cause de pressions racistes, soit on est obligés de communiquer contre toi et de dire pourquoi on ne te donne pas l’investiture. Et tu vas avoir la Nupes contre toi".

Ah le entre-soi! Mais charbonnier n'est-il pas maître chez lui? Na!

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