Procès des attentats islamistes de janvier 2015: la justice des Hommes toujours au lieu de celle de Dieu
Ce mercredi 2 septembre 2020, s'ouvre à Paris, devant la Cour d'assises spéciale, le procès du terrorisme islamo-fasciste assassin, perpétré à Charlie Hebdo, à Montrouge et à l'Hyper Cacher de la porte de Vincennes. 49 jours d'audience et verdict rendu le 10 novembre prochain.
Le trio d'assassins sera absent de ce procès historique, puisque abattu par la police. Mais dans le box des accusés vont apparaître 14 subalternes soupçonnés de complicité, mais sans lesquels l'acte terroriste assassin n'aurait pas eu lieu.
Ils ne seront jugés que par des magistrats professionnels et non par une Cour d'assises normale avec des jurés composés de citoyens comme vous et moi. Il est dommage que la justice rendue au nom du Peuple français soit ainsi raccourcie.
Mais le débat sera contradictoire afin que la justice des Hommes passe encore et toujours sur celle de Dieu, prétendument invoquée par l'islamo-fascisme pour répandre une soi-disant parole divine sur la terre par la haine et par le sang.
Ce mardi, Charlie-Hebdo reprend les caricatures de Mahomet. Il a raison. Le blasphème n'existe pas en France, tout comme d'ailleurs toute justice divine. Et la Laïcité n'est surtout pas un gros mot, et jamais attentatoire au respect de toutes les religions.
Encore faut-il que les hiérarchies religieuses et leurs commis acceptent cette liberté de pensée en France et n'imposent pas leur religion pour faire de la politique qui ne va jamais dans le sens de la justice sociale et du progrès pour l'humanité. Sinon, ça se saurait.
Et cette capture d'écran: