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Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

Ils partirent 300 -en 2012-, mais par une prompte politique de droite, ils se virent 32 en arrivant au port-en 2017-: une chute des plus vertigineuses et les ex-députés frondeurs ont également basculé dans le vide.

Le groupe socialiste a réélu Olivier Faure comme président. Il l'était déjà à la fin du quinquennat droitier de François Hollande. Comme quoi, pourquoi changer, ça serait vraiment trop bêta.

La Tribune de ce 22 juin 2017, journal français de l'économie capitaliste, a interviewé le camarade Olivier Faure. A moins qu'ils ne se disent plus camarades entre socialistes ou de ce qu'il en reste. Bref, sur la politique que va ordonner Macronléon Bonaparte aux Français présents et à venir:

"ni dans l'obstruction, ni dans une forme d'opposition pavlovienne, ni dans une forme de robotisation de la pensée qui serait celle qui nous conduirait à être, d'ores et déjà, dans une majorité présidentielle".

Mais encore aurait pu demander la Tribune tant la réponse est limpide comme de l'eau de roche. Mais bon, on n'a pas le droit de tirer sur une ambulance.

Et sur la loi travail XXL: "Nous allons nous définir par nos propositions." Comme la loi El Khomri passée par le 49-3, aurait pu questionner la Tribune? Mais chut, sans doute toujours à cause de la Convention de Genève sur les ambulances.

Ceci dit, les propos d'Olivier Faure au nom des 300 députés socialos, après que Macronléon Bonaparte ait remplacé le socialiste François Hollande à l'Elysée. Extraits:

La victoire d’Emmanuel Macron est un beau jour pour la France et pour l’Europe.

 

Une nouvelle fois les Français ont massivement dit non à l’extrême droite. Une nouvelle fois ils ont manifesté la force de leur attachement à notre devise, à nos valeurs, à notre ancrage européen.

 

Comme en 2002, comme à toutes les élections, je veux dire la fierté des socialistes d’avoir contribué activement à cette mobilisation du peuple français.

 

Je salue Emmanuel Macron qui a su porter ce rassemblement. Son élection exprime un besoin de renouveau, d’unité et d’espérance.

 

Au nouveau Président d’en poser les actes fondateurs qui soient plus qu’une simple recomposition au profit de partis plus jeunes. A toutes les forces républicaines d’être à la hauteur. Nul ne peut oublier que l’extrême-droite a recueilli plus d’un tiers des suffrages et qu’il faut apporter des solutions fortes aux problèmes qui la font prospérer.  

 

Ce résultat ne doit pas être confisqué. Les Français ont le souvenir de 2002 avec un Président qui, sitôt élu, a fait le choix d'oublier le contexte de son élection. Je souhaite donc que tout soit entrepris pour que le dialogue démocratique s'approfondisse et que le Parlement retrouve toute sa place.

 

C'est la condition de la réussite de ce quinquennat à laquelle nous souhaitons prendre notre part.

La victoire d’Emmanuel Macron est un beau jour pour la France et pour l’Europe.

"La victoire d'Emmanuel Macron est un beau jour pour la France et pour l'Europe.(...)

Je salue Emmanuel Macron qui a su porter ce rassemblement -contre l'extrême droite-. Son élection exprime ce besoin de renouveau, d'unité et d'espérance. Au niveau président d'en porter les actes fondateurs (...)"

A mon humble avis, mais je peux me tromper, les électeurs ont répondu 5/5 aux candidats de l'ex-pouvoir socialiste, frondeurs compris.

Quant à Macronléon Bonaparte, il vient d'adouber deux socialistes de plus dans son gouvernement: Florence Parly à la Guerre et je rappelle que Jean Jaurès disait en son temps que le capitalisme porte la guerre comme la nuée l'orage; Nicole Belloubet à la Justice, ancienne élue socialiste et ex-membre du Conseil constitutionnel nommé à ce poste par le président PS du Sénat.

La victoire d’Emmanuel Macron est un beau jour pour la France et pour l’Europe.

 

Une nouvelle fois les Français ont massivement dit non à l’extrême droite. Une nouvelle fois ils ont manifesté la force de leur attachement à notre devise, à nos valeurs, à notre ancrage européen.

 

Comme en 2002, comme à toutes les élections, je veux dire la fierté des socialistes d’avoir contribué activement à cette mobilisation du peuple français.

 

Je salue Emmanuel Macron qui a su porter ce rassemblement. Son élection exprime un besoin de renouveau, d’unité et d’espérance.

 

Au nouveau Président d’en poser les actes fondateurs qui soient plus qu’une simple recomposition au profit de partis plus jeunes. A toutes les forces républicaines d’être à la hauteur. Nul ne peut oublier que l’extrême-droite a recueilli plus d’un tiers des suffrages et qu’il faut apporter des solutions fortes aux problèmes qui la font prospérer.  

 

Ce résultat ne doit pas être confisqué. Les Français ont le souvenir de 2002 avec un Président qui, sitôt élu, a fait le choix d'oublier le contexte de son élection. Je souhaite donc que tout soit entrepris pour que le dialogue démocratique s'approfondisse et que le Parlement retrouve toute sa place.

 

C'est la condition de la réussite de ce quinquennat à laquelle nous souhaitons prendre notre part.

La victoire d’Emmanuel Macron est un beau jour pour la France et pour l’Europe.

 

Une nouvelle fois les Français ont massivement dit non à l’extrême droite. Une nouvelle fois ils ont manifesté la force de leur attachement à notre devise, à nos valeurs, à notre ancrage européen.

 

Comme en 2002, comme à toutes les élections, je veux dire la fierté des socialistes d’avoir contribué activement à cette mobilisation du peuple français.

 

Je salue Emmanuel Macron qui a su porter ce rassemblement. Son élection exprime un besoin de renouveau, d’unité et d’espérance.

 

Au nouveau Président d’en poser les actes fondateurs qui soient plus qu’une simple recomposition au profit de partis plus jeunes. A toutes les forces républicaines d’être à la hauteur. Nul ne peut oublier que l’extrême-droite a recueilli plus d’un tiers des suffrages et qu’il faut apporter des solutions fortes aux problèmes qui la font prospérer.  

 

Ce résultat ne doit pas être confisqué. Les Français ont le souvenir de 2002 avec un Président qui, sitôt élu, a fait le choix d'oublier le contexte de son élection. Je souhaite donc que tout soit entrepris pour que le dialogue démocratique s'approfondisse et que le Parlement retrouve toute sa place.

 

C'est la condition de la réussite de ce quinquennat à laquelle nous souhaitons prendre notre part.

La victoire d’Emmanuel Macron est un beau jour pour la France et pour l’Europe.

 

Une nouvelle fois les Français ont massivement dit non à l’extrême droite. Une nouvelle fois ils ont manifesté la force de leur attachement à notre devise, à nos valeurs, à notre ancrage européen.

 

Comme en 2002, comme à toutes les élections, je veux dire la fierté des socialistes d’avoir contribué activement à cette mobilisation du peuple français.

 

Je salue Emmanuel Macron qui a su porter ce rassemblement. Son élection exprime un besoin de renouveau, d’unité et d’espérance.

 

Au nouveau Président d’en poser les actes fondateurs qui soient plus qu’une simple recomposition au profit de partis plus jeunes. A toutes les forces républicaines d’être à la hauteur. Nul ne peut oublier que l’extrême-droite a recueilli plus d’un tiers des suffrages et qu’il faut apporter des solutions fortes aux problèmes qui la font prospérer.  

 

Ce résultat ne doit pas être confisqué. Les Français ont le souvenir de 2002 avec un Président qui, sitôt élu, a fait le choix d'oublier le contexte de son élection. Je souhaite donc que tout soit entrepris pour que le dialogue démocratique s'approfondisse et que le Parlement retrouve toute sa place.

 

C'est la condition de la réussite de ce quinquennat à laquelle nous souhaitons prendre notre part.

 

La victoire d’Emmanuel Macron est un beau jour pour la France et pour l’Europe.

 

Une nouvelle fois les Français ont massivement dit non à l’extrême droite. Une nouvelle fois ils ont manifesté la force de leur attachement à notre devise, à nos valeurs, à notre ancrage européen.

 

Comme en 2002, comme à toutes les élections, je veux dire la fierté des socialistes d’avoir contribué activement à cette mobilisation du peuple français.

 

Je salue Emmanuel Macron qui a su porter ce rassemblement. Son élection exprime un besoin de renouveau, d’unité et d’espérance.

 

Au nouveau Président d’en poser les actes fondateurs qui soient plus qu’une simple recomposition au profit de partis plus jeunes. A toutes les forces républicaines d’être à la hauteur. Nul ne peut oublier que l’extrême-droite a recueilli plus d’un tiers des suffrages et qu’il faut apporter des solutions fortes aux problèmes qui la font prospérer.  

 

Ce résultat ne doit pas être confisqué. Les Français ont le souvenir de 2002 avec un Président qui, sitôt élu, a fait le choix d'oublier le contexte de son élection. Je souhaite donc que tout soit entrepris pour que le dialogue démocratique s'approfondisse et que le Parlement retrouve toute sa place.

 

C'est la condition de la réussite de ce quinquennat à laquelle nous souhaitons prendre notre part.

 

La victoire d’Emmanuel Macron est un beau jour pour la France et pour l’Europe.

 

Une nouvelle fois les Français ont massivement dit non à l’extrême droite. Une nouvelle fois ils ont manifesté la force de leur attachement à notre devise, à nos valeurs, à notre ancrage européen.

 

Comme en 2002, comme à toutes les élections, je veux dire la fierté des socialistes d’avoir contribué activement à cette mobilisation du peuple français.

 

Je salue Emmanuel Macron qui a su porter ce rassemblement. Son élection exprime un besoin de renouveau, d’unité et d’espérance.

 

Au nouveau Président d’en poser les actes fondateurs qui soient plus qu’une simple recomposition au profit de partis plus jeunes. A toutes les forces républicaines d’être à la hauteur. Nul ne peut oublier que l’extrême-droite a recueilli plus d’un tiers des suffrages et qu’il faut apporter des solutions fortes aux problèmes qui la font prospérer.  

 

Ce résultat ne doit pas être confisqué. Les Français ont le souvenir de 2002 avec un Président qui, sitôt élu, a fait le choix d'oublier le contexte de son élection. Je souhaite donc que tout soit entrepris pour que le dialogue démocratique s'approfondisse et que le Parlement retrouve toute sa place.

 

C'est la condition de la réussite de ce quinquennat à laquelle nous souhaitons prendre notre part.

 

La victoire d’Emmanuel Macron est un beau jour pour la France et pour l’Europe.

 

Une nouvelle fois les Français ont massivement dit non à l’extrême droite. Une nouvelle fois ils ont manifesté la force de leur attachement à notre devise, à nos valeurs, à notre ancrage européen.

 

Comme en 2002, comme à toutes les élections, je veux dire la fierté des socialistes d’avoir contribué activement à cette mobilisation du peuple français.

 

Je salue Emmanuel Macron qui a su porter ce rassemblement. Son élection exprime un besoin de renouveau, d’unité et d’espérance.

 

Au nouveau Président d’en poser les actes fondateurs qui soient plus qu’une simple recomposition au profit de partis plus jeunes. A toutes les forces républicaines d’être à la hauteur. Nul ne peut oublier que l’extrême-droite a recueilli plus d’un tiers des suffrages et qu’il faut apporter des solutions fortes aux problèmes qui la font prospérer.  

 

Ce résultat ne doit pas être confisqué. Les Français ont le souvenir de 2002 avec un Président qui, sitôt élu, a fait le choix d'oublier le contexte de son élection. Je souhaite donc que tout soit entrepris pour que le dialogue démocratique s'approfondisse et que le Parlement retrouve toute sa place.

 

C'est la condition de la réussite de ce quinquennat à laquelle nous souhaitons prendre notre part.

 

La victoire d’Emmanuel Macron est un beau jour pour la France et pour l’Europe.

 

Une nouvelle fois les Français ont massivement dit non à l’extrême droite. Une nouvelle fois ils ont manifesté la force de leur attachement à notre devise, à nos valeurs, à notre ancrage européen.

 

Comme en 2002, comme à toutes les élections, je veux dire la fierté des socialistes d’avoir contribué activement à cette mobilisation du peuple français.

 

Je salue Emmanuel Macron qui a su porter ce rassemblement. Son élection exprime un besoin de renouveau, d’unité et d’espérance.

 

Au nouveau Président d’en poser les actes fondateurs qui soient plus qu’une simple recomposition au profit de partis plus jeunes. A toutes les forces républicaines d’être à la hauteur. Nul ne peut oublier que l’extrême-droite a recueilli plus d’un tiers des suffrages et qu’il faut apporter des solutions fortes aux problèmes qui la font prospérer.  

 

Ce résultat ne doit pas être confisqué. Les Français ont le souvenir de 2002 avec un Président qui, sitôt élu, a fait le choix d'oublier le contexte de son élection. Je souhaite donc que tout soit entrepris pour que le dialogue démocratique s'approfondisse et que le Parlement retrouve toute sa place.

 

C'est la condition de la réussite de ce quinquennat à laquelle nous souhaitons prendre notre part.

Comment ça va du côté du groupe socialiste à l'Assemblée nationale ou de ce qu'il en reste?

Mince, je me suis trompé de camarade. Ce n'est pas Olivier Faure, mais Richard Ferrand, ex-député socialiste devenu patron du parti macroniste, puis ministre de Macronléon Bonaparte après qu'il soit limogé à cause d'un certain air qui semble polluer sa tête en Bretagne...

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