Pour finir 2012, ils le disent par l'image
2012 ne fut pas plus mauvaise que la précédente. Elle fut pire, même si Sarkozy et son gouvernement des riches ont été obligés de déménager de l'Elysée. Mais le patronat a-t-il reculé et la droite s'est-elle affaiblie? Et le nouveau pouvoir socialo-écologiste répond-t-il à l'espérance forte que ses électeurs avaient portée en lui? Où en est l'augmentation du pouvoir d'achat et des actions d'ensemble (par le loi notamment votée par le Parlement) contre les licenciements et la précarité? Vers quels travers court l'école de la République? Liberté, égalité, fraternité, sont-ils définitivement éteints?
Pendant ce temps, les profits n'ont de cesse d'augmenter, le chômage de s'accroître et les fraudeurs fiscaux de tout poil de filer à l'étranger en toute impunité. Est-ce ainsi que la France doit-elle vivre, dans l'austérité imprimée par l'étranger, sous la coupe des barons du capitalisme et de l'euro?
Que va donc déblatérer François Hollande dans ses voeux à la nation, depuis les ors du palais de l'Elysée où il est comme un coq en pâte? Qu'il est nécessaire de se serrer la ceinture pour chasser demain le renard du poulailler? Les promesses rendent les enfants joyeux et je n'en suis plus un. Et vous?