La "méprisance" du petit père Nico
Allez, une petite gâterie que des taquins ont repris. C'était lors de la grand-messe du président candidat, mardi à Nantes. Il en avait après "un certain nombre de cercles dirigeants". Vous croyez que c'était à l'encontre du Medef, de ses potes du Fouquet's ou des big boss du CAC 40?
Et ça bombarde depuis qu'il a employé le terme "méprisance": «Je veux apporter des réponses. Des réponses qu'on ne comprendra pas dans un certain nombre de cercles dirigeants. Des réponses qu'on va regarder avec cette méprisance, cette attitude hautaine».
Oui ça pète du tonnerre de Dieu, telle cette rigolade sur twitter d'un qui a des connaissances cinéphiles, ce qui n'est peut-être pas vrai à l'Elysée (ci-dessous). Bon, d'un autre côté, Brigitte Bardot aime bien les ânes, à ce qu'il paraît. Enfin, si le petit père du peuple de France est débarqué en mai 2012, peut-être le prendra-t-on à l'Académie française. Ils refont le dictionnaire et en sont encore à la lettre A. Et puis, ils ont déjà Giscard d'Estaing, un ex-président de la République devenu un écrivain célèbre.