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C'est en France: pas d'école pour 18 gamins
Oui, à Rubelles, petite commune de Seine-et-Marne de quelque 1 830 âmes dirigée par un maire Ump depuis 1977, 18 enfants en âge d'être scolarisés sont privés d'école primaire depuis un an. Réseau éducation sans frontières, la Ligue des droits de l'Homme et Amnesty international ont glissé des tracts pour dénoncer cette infamie dans les boites-aux-lettres de ce bourg à la conscience bien chétienne faite de charité et d'amour avec son prochain: rien n'y a fait ou si peu. On défend mordicus la position du conseil municipal, parce qu'en scolarisant ces 18 gosses, cela baisserait le niveau de la classe des petits Rubellois.
Attention, ces gosses à qui on refuse d'apprendre à lire , à écrire, à compter et à rêver ne sont pas des descendants de Vercingétorix. Ils ne sont que la marmaille de pauvres familles immigrées en attente qu'on leur accorde, ou non, l'asile politique. Pauvre marmaille qui tue donc le temps devant le Formule 1 ou le Confontel que l'Etat leur accorde en attendant un éventuel sésame. Cest mieux que les camps d'internements français pour les étrangers avant la fin de la Deuxième Guerre mondiale. Mais si la forme c'est un peu améliorée, le fond nauséabond demeure.
Ci-dessous le Confontel de Rubelles:
Figurez-vous que dans la Zac du village se trouve la
Caisse des Français de l'Etranger, oui la CFE, la sécu des émigrés gaulois (et sans doute chrétiens) hors de notre pays...