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M'en voudrez-vous beaucoup si je vous dis un autre monde
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Entre les petites colères à l'Assemblée nationale du tourne-veste Olivier Dussopt, ex-député socialiste ministre du travail de Macron et Bfmtv, en chien de garde, qui dénonce le "foutoir" des députés contre la réforme des retraites à la sauce du Capital, tout en rappelant le gouvernement collaborationniste pétainiste par manque d'argument, ces quelques mots pris à la CGT:
Vous les avez forcément déjà aperçus, les trois petits singes de la sagesse. L’un se couvre les yeux, le second les oreilles, le troisième, la bouche. Si le gouvernement se glisse avec mépris dans les deux premiers, il transgresse le conseil du dernier.
Les petits mensonges et grosses approximations se multiplient.
Les petits mensonges et grosses approximations se multiplient.
Le déficit creusé artificiellement, la retraite des femmes, la pension minimale à 1200€… Chaque mensonge amplifie le désaveu de l’opinion.
À l’imposture s’ajoute l’arrogance.
Avec une Première ministre qui se dit prête à écouter les oppositions qui sont disposées à voter la réforme. Et un président qui, depuis Bruxelles, appelle à la responsabilité des syndicats alors qu’il a balayé toute négociation. Tout un symbole !
Ils portent le risque d’un durcissement du conflit.
La CGT et ses militant·es revendiquent une réponse sociale. C’est le sens des propositions de financement du régime de retraites par répartition. Si le gouvernement n’entend pas la contestation des citoyen·nes, il n’y aura pas d’autre choix que de durcir le mouvement.
À l’imposture s’ajoute l’arrogance.
Avec une Première ministre qui se dit prête à écouter les oppositions qui sont disposées à voter la réforme. Et un président qui, depuis Bruxelles, appelle à la responsabilité des syndicats alors qu’il a balayé toute négociation. Tout un symbole !
Ils portent le risque d’un durcissement du conflit.
La CGT et ses militant·es revendiquent une réponse sociale. C’est le sens des propositions de financement du régime de retraites par répartition. Si le gouvernement n’entend pas la contestation des citoyen·nes, il n’y aura pas d’autre choix que de durcir le mouvement.