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Baisse de 25% des allocations chômage
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capture d'écran
Ce lundi, Olivier Dussopt, ex-député socialiste devenu ministre du Travail de Macron -comme quoi quand on a des convictions politiques- a annoncé aux "partenaires sociaux", convoqués dans son ministère, le grand coup de sabre sur les sans-emplois.
Bon, la loi avait été votée par avance le 15 novembre, par les macronistes et l'autre droite de Sarkozy. Toujours au nom du dialogue social entre partenaires dits sociaux. Ce coup de tranchant n'a donc surpris personne. Le patronat revendiquait plus que jamais que les sans-emplois acceptent tous les boulots dans des emplois-sous rémunérés.
Le 17 octobre, la CGT avait rompu la pseudo concertation sociale, à cause de la réquisition des travailleurs en grève dans l'industrie pétrolière. Elle est revenue, cahin-caha, à l'ultime réunion dite toujours de concertation pour entendre le couperet choir sur un droit conquis avec la création de la Sécu à la Libération.
D'autre concertation sont en vue, toujours à la sauce du capital: la contre-réforme des retraites et la loi sur l'immigration. Le père Noël à la solde des Marchés est en avance cette année.