Comme de bien entendu, la COP 26 s'est conclue par du bla-bla-bla, sans remettre en cause la capitalisme qui détruit la planète
Normal, la COP 26 -pour Conference of parties en langue du dollar dans le texte- s'est réunie 26 fois depuis 1996, sous l'égide de l'ONU. Elle rassemble 196 états et l'UE signataires de la Convention des Nations unies sur les changements climatiques.
L'ONU, les grandes puissance internationales, dont la France siégeant au Conseil de sécurité, s'en foutent. Et la COP dispose depuis des lustres d'un organe scientifique, dit Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) et qui malgré ses travaux émérites et alarmistes, tout le monde se fiche aussi royalement.
En résumé, une fois de plus, la montagne a accouché d'une souris et même pas verte pour courir dans l'herbe de la même couleur.
Je ne vais pas ici colporter les médias officiels ou officieux des 196 états et de l'UE qui glorifient le succès de cette COP 26. Ecoutez ou regardes vous-mêmes les organes de presse qui vous lanternent chaque jour que le capital fait.
Je vais juste m'en tenir aux propos de madame Barbara Pompili, ministre de l'écologie et du vent pour le palais de l'Elysée. Si vous aviez raté le début de l'histoire, sous Hollande président, dame Pompili était la chef des députés écolos. Puis, elle fut secrétaire d’État chargée de la Biodiversité jusqu'en
Le combat climatique se porte mieux après la COP26"" On ne lui fait pas dire!
Ah, ces partisans de l'écologie gouvernementale sans bouleverser la classe qui opprime les peuples et détruit la planète. Il y en a qui se présente en ce sens à la présidentielle de 2022?