Macron met au pas les journalistes dans les manifs
Pour maintenir l'ordre, mais lequel, son ministre de la police soutient que le délit pénal d'attroupement s'applique désormais aux journalistes.
En effet, "le fait de se maintenir dans un attroupement après sommation" constitue pour eux un délit pénal. Et autre directive ministérielle, un officier de police "référent" est mis en place entre celui-ci et les journalistes dans une manifestation autorisée par la préfecture, pour "un canal d'échanges d'idées mis en place".
Avec ou sans matraque pour les journalistes dans ce cas?