Brexit or not Brexit
Telle est la question du côté du capitalisme outre-Manche, notamment de la City et des paradis fiscaux sous la couronne de sa majesté Elisabethh 2, quand on sait que presque 52% des sujets britanniques ont voté pour se tirer de l'UE.
Ils ont ainsi mis en défaut les syndicats sociaux-démocrates et le parti travailliste qui sont sensés défendre les travailleurs en Grande-Bretagne.
Depuis, on tire à boulets rouges contre ces pelés qui ne comprennent rien à rien. Depuis Londres, mais aussi en France où il est de bon ton de vouloir réformer l'UE pour en faire un machin chose social qui fera que demain on rasera gratis.
Juncker, le patron de l'UE, déclare qu'il n'y a pas de "date limite" pour les négociations du Brexit ce 25 juin 2016. Et Hollande, qui recevait en son palais Thérésa May, la nouvelle premier ministre britannique, a dit: "Brexit ou pas, le régime frontalier entre la France et la Grande-Bretagne resterait ce qu'il est actuellement." C'est à dire à Calais et ses fils de fer barbelés.
Du coup, cette image pour les peuples dits souverains. Parce que c'est ça l'expression démocratique dans l'UE capitaliste.