/image%2F0618370%2F201305%2Fob_7918818d5d07715052e33159e7d5dc33_revolution.jpg)
Il faut ce qu'il faut pour faire du business
François du palais de l'Elysée était en visite d'état au Kasakhstan, une république d'Asie centrale. Son président, Noursoultan Nazarbayev, fut le boss estampillé coco dans cette république socialiste sous l'URSS. Il est passé à l'âge capitaliste sans coup férir et est le président démocratiquement élu à plus de 80% et des bananes depuis 1991, quand l'Urss passa à pertes et profits, profits pour seulement ceux qui changèrent d'étal sans états d'âme.
Le président kasakhe aurait transféré au moins 1 milliard de dollars de revenus du pétrole sur ses comptes en banque privés dans d'autres pays et sa famille contrôle d'autres entreprises clefs au Kazakhstan.
Mais bon, comme dirait Laurent Fabius chambellan de l'Elysée chargé du commerce extérieur, si on s'arrête à des broutilles, la France ne ferait du fric avec personne. Et dans la vie, il faut mieux vivre coiffé que pas du tout. D'où peut-être la photographie de notre grandeur François diffusée par la république de
Ah, j'oubliais, une cinquantaine de patrons français étaient dans la délégation officielle: gestion des eaux et des déchets, transports urbains, aéronautique, aérospatial, énergies renouvelables, construction, agroalimentaire, santé et tourisme et tutti quanti. C'est à dire: EDF, GDF Suez, Veolia, Suez environnement, Airbus, Peugeot, Sanofi, SNCF, Eiffage, Vinci, Areva, Total...
Ben oui, si on n'amène pas ses potes du Medef, des gens toujours coiffés!
