La CGT a 120 ans
Dans le cadre du 120e anniversaire de la CGT, l’Institut CGT d’histoire sociale organise un cycle de conférences retraçant le long parcours de la première centrale syndicale. Parce qu’il nous paraît essentiel de connaître le passé pour mieux appréhender les défis actuels, ce cycle de sept conférences a l’ambition d’apporter une vue globale de l’histoire de la CGT. Pour cela, nous avons sollicité des spécialistes reconnus de chacune des périodes traitées. Ces conférences représentent donc une source de connaissances primordiale pour le monde du travail d’aujourd’hui.
> La préhistoire du syndicalisme
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Conférence présentée par Michelle Perrot, historienne, professeure émérite à l’Université Paris VII
> Le syndicalisme révolutionnaire
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Conférence présentée par Jacques Julliard, historien, journaliste, ancien responsable syndical
> La CGT face à la Nation : l’épreuve de la Première Guerre mondiale
- Conférence présentée par Jean-Louis Robert, historien, professeur émérite à l’Université Paris I Panthéon-La Sorbonne
> La CGT dans la guerre froide (1947-1962)
- Conférence présentée par Michel Pigenet, historien, professeur émérite à l’Université Paris I Panthéon-La Sorbonne, modérateur du Conseil scientifique de l’IHS-CGT
> Autour du mouvement de mai-juin 1968 : conquêtes et programme commun
- Conférence présentée par Danielle Tartakowsky, historienne, professeure et présidente de l’Université Paris VIII Vincennes-Saint-Denis
> Le temps des turbulences : la CGT face aux crises (1977 jusqu’à aujourd’hui)
- Conférence présentée par René Mouriaux, politologue, docteur d’Etat en science politique
Entrées libres
Inscription obligatoire: ihs@cgt.fr, ou tel: 01 55 82 81 13
Note de ma pomme: La CGT a été crée à Limoges du 23 au 28 septembre 1895. En lien, les travaux de son congrès fondateur.
Ses statuts dont son article 1: "(...) Prenant en compte l’antagonisme fondamental et les conflits d’intérêts entre salariés et patronat, entre besoins et profits, elle combat l’exploitation capitaliste et toutes les formes d’exploitation du salariat. C’est ce qui fonde son caractère de masse et de classe.(...)"
Partie des statuts que d'aucuns avaient semblé oublié dans la crise qui a secoué la confédération et dont désormais j'espère que le remplacement du bureau confédéral par un autre ne reste pas l'unique mesure envisagée.
En lien aussi, les statuts de la CGT.

