/image%2F0618370%2F201305%2Fob_7918818d5d07715052e33159e7d5dc33_revolution.jpg)
J.L. Borloo: je viens vous dire que je m'en vais
Hier soir, sur TF1, l'on a encore assisté à l'interview de quelqu'un qui n'avait rien à dire. En effet, Jean-Louis Borloo, futur candidat à la future présidentielle, plie armes et bagages définitivement. De quoi attrister profondément celles et ceux qui croyaient en lui et répétaient partout à cor et à cris quel homme providentiel était l'ancien ministre de l'Elysée et toujours député de droite. Las, le président du Parti radical tire sa révérence, alors qu'en avril dernier, son parti avait décidé de sa candidature pour les présidentielles.
Mais, sans doute, l'espoir de retrouver son siège de député vaut d'avaler toutes les couleuvres de la terre. Et puis, les amis de JL Borloo (ceux qui ne sont pas députés ou sénateurs), en attendant la fin du règne de Nicolas Sarkozy pourront-ils prétendre à quelque prébende de la part du palais de l'Elysée.
La non candidature du président du Parti radical, qui se dit centriste, démontre aussi que le centre et la droite c'est bonnet blanc et blanc bonnet, bref du pareil au même. Mais ça, on le sait depuis qu'il existe un Parlement en France.