Déjeuner de travail avec Macron bis: les ravis de la crèche, pardon les syndicats, se disent "rassurés"

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Seule la CGT avait refusé ledit "déjeuner de travail" tenu dans le palais de l'Elysée. Pour le reste, comme le titre Sud Ouest: "Après leur entrevue avec Emmanuel Macron, les syndicats se disent « rassurés »"

Laurent Berger, patron de la Cfdt et de la Confédération européenne des syndicats, fut le plus rassuré des syndicats Fo, Cgc et Cftc présents.

Et sur le pouvoir d'achat en dégringolade? Ras.

Et sur les conditions de travail? Ras.

Et sur la retraite à 65 ans? On en parle à la rentrée scolaire. Tout en sachant -note de ma pomme- que Macron bis a fixé juillet 2023 pour l'entériner

Enfin sur le prétendu Conseil national de la rénovation? Toujours lu dans Sud Ouest de la part de Laurent Berger: "Le CNR, il nous a dit que ce sera une méthode, pas un machin supplémentaire, ça nous rassure."

Pour en revenir au Ravi de la crèche provençale, parmi les santons présents, il n'y en n'a qu'un seul. Et vous avez sans doute entendu l'expression suivante : “le ravi de la crèche”. Peu flatteuse en vérité, elle désigne une personne naïve et peu débrouillarde.

Cela dit, au cours du "déjeuner de travail" offert par Macron bis, d'une durée de deux heures, écrit Sud Ouest, comme quoi vite fait bien fait, le palais de l'Elysée n'est pas un crèche.

En revanche, Cfdt, Cgc et Cftc en ont été ravis, pardon rassurés.

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