Petit papa François, quand tu descendras du toit
Harlem Désir, le boss du Parti socialiste, disait dernièrement à ses potes, dont à celui qui est à l'Elysée et qui fait soi-disant office de père Noël: "Il ne faut pas rater les réformes sociétales".
Et bien ça n'a pas raté. Sonnez hautbois, résonnez musettes sous le sapin enguirlandé: des cadeaux par milliers.
Enfin, par milliers, ce sont plutôt les patrons et les spéculateurs qui se réjouissent, qu'ils soient de la Gaule du CAC40 ou d'aileurs (Mittal par exemple, mais ce n'est pas une exception).
Quant à l'augmentation des salaires et des retraites, c'est plutôt 0+0 la tête à Toto, confirme le Zayrault de Nantes, celui que l'Elysée a donné à la France pour donner aux riches et pas au peuple. Pire, pour les plus démunis des pauvres, ce n'est même pas l'aumône, c'est une tragédie pour leur suvie: 2% d'augmentation pour le RSA et 3 centimes d'euro pour l'augmentation du SMIC. Et le bas de laine du livret A qui risque d'être troué au 1er février 2013, sans compter les diverses augmentations de l'an 2013, parce que c'est la crise, mesdames et messieurs, dans le 5e pays le plus riche du monde et le number 2 en Europe.
Allez, reviens à la maison Gégé, ne rends pas ton passeport, le cinoche et Obélix ont trop besoin de toi. En France, ce ne sont pas les plus riches que l'on tue, c'est la justice sociale qu'on assassine. Oui, avec les réformes sociétales chères au PS.