Dans la famille Le Vern, passez-moi le père
Le père, c'est Alain Le Vern, troskiste devenu socialiste, normal. Il démissionne le 30 septembre 2013 de ses mandats de président du conseil régional de Haute-Normandie et de sénateur de Seine-Maritime. Oui, à 65 ans, il compte prendre sa retraite de politicien, pardon, il souhaite "se retirer de la vie politique". En fait de retraite, coucou, le voilà nommé le 4 novembre 2013, à la SNCF, comme Directeur général Régions et Intercités. Peut-être pour l'instituteur qu'il fut afin de calculer combien un intercités partant de Haute-Normandie met de temps pour être supprimé...
Dans la famille Le Vern, passez-moi son épouse: Sandrine Hurel, députée PS de Seine-Maritime. Comme elle semble s'y entendre en vaccination, François de l'Elysée l'a nommée chargée de mission en politique vaccinale. Et comme elle bosse fort en politique vaccinale, sa mission est prolongée. Du coup, sans élection partielle, sa suppléante la remplace à l'Assemblée nationale par décret du premier vizir Manuel Valls.
Dans la famille Le Vern, passez-moi la fille: Marie de son prénom. C'est elle qui va devenir députée socialiste de Seine-Maritime.
Je crois bien que le grand-père est Laurent Fabius, ex-premier-ministre de François Mitterrand, ex-député de Seine-Maritime, aujourd'hui ministre des affaires internationales de François 2 pour le Medef et les rafales de Serge Dassault et toujours baron de la Normandie. Mais je peux me tromper...