Beaumarchais répond au petit caudillo, par José Fort
Ainsi donc le petit caudillo à l’approche des élections départementales a « peur » du Front national. Un premier ministre exprimant la « peur » cela s’apparente au mieux à une tentative de manipulation de l’opinion au pire à une désertion devant l’ennemi. La meilleure réplique à Manuel Valls revient à Beaumarchais dans le Barbier de Séville : « Fi donc, trembler! mauvais calcul, monsieur. Quand on cède à la peur du mal, on ressent déjà le mal de la peur. »
A lire également sur le blog de José Fort: Cuba-Etats-Unis: ingérence ou relations d'égal à égal? Par Maïté PINERO, ancienne correspondante de « l’Humanité » à La Havane.
Note de ma pomme: En ce qui concerne le premier ministre du palais de l'Elysée, il ne semble pas avoir peur du patronat. Et l'inverse est aussi vrai, non?